à la rencontre de notre humanitérticle – site web Retrospective

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QUELQUES BRIBES….

J’ai vraiment apprécié le volet des diverses manifestations artistiques du congrès. J’imagine l’effort que l’organisation et la réalisation d’un tel événement exige. Je suis donc très reconnaissante envers le comité organisateur et envers tous les individus qui ont travaillé à la réussite de ce congrès. Tant de formes d’art ont été présentées durant une seule semaine de rencontres : architecture, sculpture, peinture, musique, poésie, eurythmie! J’ai eu l’impression de vivre ainsi l’évolution de la conscience humaine à travers l’évolution des arts. Merci!

CoCo Verspoor

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J’ai l’impression d’avoir enfin « pris le tour » par rapport à la technique de l’aquarelle grâce à l’atelier de Donald Hall.

Quelques-unes des conférences ont été excellentes.

Les amples pauses prévues entre les différentes activités ont été très appréciées.

Giselher Weber

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Félicitations! Le congrès a été fort bien organisé.

J’ai beaucoup apprécié l’atelier artistique animé par Regine Kurek. J’ai trouvé son enthousiasme et sa chaleur humaine très inspirants. Un GRAND MERCI à Regine de nous avoir donné la possibilité de jeter de la lumière sur nos biographies.

Je ne dois pas être la seule à vous le dire, mais… il n’a été possible de suivre entièrement les conférences que lorsque, à partir de la présentation de Michael Schmidt, on a fait porter le microphone sur la personne du conférencier. Pourquoi est-ce qu’on ne l’avait pas fait avant?

Il y a eu beaucoup d’autres moments émouvants : la représentation du monologue de Léo Tolstoï (A Confession) donnée par Peter James Haworth, l’eurythmie de la troupe de Spring Valley, et le concert d’Emmanuel Vukovich et Jean-Philippe Sylvestre.

 

Merci d’avoir rendu possibles tellement de rencontres entre tant d’individus, de vieilles connaissances et de nouveaux amis.

Mes salutations les plus chaleureuses,

Inge Sell

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Lorsque  je suis arrivée, cela faisait déjà deux jours que la conférence avait commencé. J’ai été émerveillée de retrouver un sentiment que j’éprouve souvent lorsque je me trouve parmi un groupe d’anthroposophes : un sentiment d’appartenir à une tribu. Hamo m’a accueilli en me serrant dans ses bras en disant : « Bienvenue chez toi! » Bien que je n’aie jamais vécu à Ottawa, il y avait quelque chose de vrai dans ce qu’il a dit, quelque chose qui vit dans les profondeurs de l’âme. Peu de temps après, je me trouvais à assister à la représentation étonnante de Peter Haworth (sous la direction de Julie le Gal). La pièce, Une Confession, de Tolstoï, a été présentée d’une manière qui réunissait une grande beauté et une grande simplicité, permettant au spectateur d’accueillir l’œuvre dans toute sa profondeur.

Quelle introduction au congrès que cette représentation théâtrale!

Et le reste de la semaine s’est avéré être aussi prenant – faire la connaissance de nouveaux amis, renouer avec d’autres, assister aux leçons de Classe. Le fait de pouvoir assister à une suite de leçons données par différentes personnes, et de vivre ainsi une variété de manières d’aborder les leçons, a été pour moi une expérience toute particulière. J’ai aussi apprécié la table ronde sur l’École et j’ai été heureuse d’entendre les questions portées par les autres, membres et non membres de l’École.

Les conférences ont été excellentes et jumelées de manière à se complémenter, jetant ainsi de la lumière sur la question de deux manières différentes.

Ne voulant pas déranger des groupes déjà formés, j’ai pris la décision de ne pas me joindre ni à un atelier artistique ni à un groupe de conversation. Mais malgré cela, j’ai pu entretenir d’excellentes conversations et rencontres – en français et en anglais- avec beaucoup d’individus provenant de ce vaste pays bilingue et avec d’autres venant de l’étranger. Et quelle joie de voir, si merveilleusement affichées dans le corridor et dans la salle même, les œuvres résultant du travail de la semaine des ateliers artistiques. Wow!

Les soirées artistiques ont été variées et d’une grande qualité. Qu’est-ce qu’on pourrait demander de plus d’un congrès? En faisant la rétrospective de la semaine passée à Ottawa, je sens vraiment que « ma coupe déborde! »

Mes remerciements les plus chaleureux à tous ceux qui ont rendu ce congrès possible.

Vous avez fait un excellent travail!

Kim Hunter

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Aux organisateurs du congrès :

Je tiens à vous exprimer mes sincères remerciements pour tout ce que vous avez fait pour faire de ce congrès nord-américain, À la rencontre de notre humanité, une réussite. J’ai passé une semaine merveilleuse entourée d’autres élèves de l’anthroposophie à Ottawa, capitale du Canada. À ce que l’on m’a dit, le mot « Ottawa » signifie dans une langue autochtone « là où les rivières se rencontrent. » L’élément eau de ce pays, rivières, lacs, côtes maritimes et ruisseaux ont certainement eu un effet sur la qualité de mes expériences lors de mes rencontres avec les autres participants venus d’ailleurs en Amérique du Nord. La North Saskatchewan River qui coule à travers ma ville, Edmonton, en Alberta, veut dire « des eaux qui coulent rapidement. » Ce cours d’eau était connu autrefois comme une voie de transport de marchandise utilisée par les Voyageurs pour charrier les denrées d’est en ouest, surtout avant la construction des chemins de fer. Ici, l’aspect français entre en ligne de compte, étant donné que beaucoup des Voyageurs étaient en effet de langue française. Je suis particulièrement reconnaissante envers les membres canadiens francophones de la Société anthroposophique de nous avoir offert un lieu exceptionnellement chaleureux, accueillant et bien organisé pour la tenue de notre congrès de cet été. J’ai logé sur le campus durant toute la semaine et me suis sentie bien servie dans un lieu paisible, propre et qui offrait un calme permettant de bien dormir; et les repas ont été délicieux avec des options végétariennes et végétaliennes; en somme, nous avons été traités avec beaucoup d’égards comme invités sur ce campus canadien francophone. Le personnel a toujours été courtois et respectueux de mes propres tentatives de parler français de temps en temps. Je vous remercie du fond du cœur d’avoir créé un espace dans lequel les individus pouvaient se rencontrer et continuer à évoluer en tant que membres de la Société anthroposophique universelle.

 

Il y aurait encore tant de choses à dire sur la qualité exceptionnelle des conférences, sur les échanges d’idées dans mon groupe de conversation, sur les habiletés développées dans l’atelier artistique axé sur la parole et l’art du conte, et, bien sûr, sur les manifestations culturelles du soir. Je voudrais souligner tout particulièrement ici l’occasion si rare qui nous a été offerte d’assister à un spectacle d’eurythmie soutenu par d’excellents récitants et musiciens. Les mots ne sont pas adéquats pour exprimer ce que tout cela signifie pour moi. Merci, merci de nous avoir permis de vivre ces moments mémorables qui ont enrichi nos âmes.

 

Avec mes plus sincères remerciements,

Henriette van Hees,

Membre de la Société anthroposophique au Canada.

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