Une lettre du secrétaire général

Une lettre du secrétaire général

Chers amies et amis,

 

Le congrès qui s’est déroulé à Ottawa du 7 au 14 août a permis de réunir des personnes de différents horizons : des jeunes et des personnes plus âgées, des Américains, des Canadiens et des Européens.

Michel Dongois a écrit un article sur cet événement tenu. Je permettrais donc de faire des commentaires sur deux aspects vécus

Le travail d’équipe

Un projet d’une telle envergure ne peut s’accomplir sans un travail de collaboration entre ceux qui partagent un même idéal. Ce que je retiens en particulier de cette expérience, c’est le processus participatif dans lequel notre comité s’est engagé de façon intensive, pendant 12 mois.

Après une phase d’explicitation du projet auprès des membres du groupe, une visite des lieux où le congrès aurait lieu a été organisée en octobre 2015. Après un moment d’hésitation et de doute sur la faisabilité de la tenue d’un tel congrès, la décision fut arrêtée. Nous irions de l’avant et soutiendrions de tous les moyens mis à notre disposition un tel projet.

Chaque membre de l’équipe du comité organisateur a pu trouver sa place au cours de ces mois de préparation en fonction ce qu’il était prêt à porter. Le nombre de rencontres téléphoniques s’est accru au fil du temps et au cours du dernier mois, il devenait hebdomadaire.   Les défis quant à l’aménagement de l’espace à la Cité étudiante ont bien sûr exercé une pression jusqu’au dernier moment. En effet, il s’est avéré impératif de construire une scène avec un service d’éclairage ; Hamo Hammond et ses bénévoles d’Ottawa se sont chargés de résoudre cette problématique. Il devenait également nécessaire de créer sur les lieux une salle d’exposition, afin de regrouper les œuvres apportés par les artistes. Sylvie Richard s’en est chargée.

La logistique de l’organisation du congrès a été planifiée et gérée dans tous ses détails grâce aux bons soins de Siobhan Hughes et de Robert MacKay; le budget a été sous la bonne gestion de Doug Wylie, alors que Claudette Leblanc prenait en charge le dossier des inscriptions et de la comptabilité. Jean Balekian a pour sa part, créé sur mesure tous les motifs artistiques retrouvés dans la publicité de l’événement et il s’est également occupé de la coordination des ateliers artistiques. Le concours de Dorothy LeBaron est inestimable, car elle a chapeauté l’ensemble des activités du programme.

On doit à Eric Philips Oxford la traduction de tous les textes qu’on pouvait ainsi retrouver dans les deux langues. John Bach assurait le suivi auprès de ceux qui désiraient présenter un pan d’une recherche menée en lien avec l’anthroposophie. Judith King apportait à chacun un soutien enthousiaste. Toute l’information a été soigneusement mise par M. Gary Burak sur le site internet.

Il nous faut adresser des remerciements sentis et bien particuliers aux membres du comité directeur du Goethéanum. Ils ont généreusement donné de leur temps et de leur compétence. Nous pensons à Bodo von Plato, Paul Mackay, Joan Sleigh, Seija Zimmerman et Constanza Kaliks.

Tout ce travail d’organisation s’est fait dans le respect de chacun, dans une énergie et une générosité jamais défaillantes. On peut donc parler d’un très bel exemple de travail d’équipe autour d’un même but.

 

Les présentations de recherche

Je tiens également à souligner un autre point : les présentations de recherche qu’on retrouvait au programme en fin de journée. Plus de 35 personnes ont contribué à cette activité en se prononçant sur différents sujets. Ces échanges sur des expériences les plus diverses reflètent la vie actuelle au sein de l’anthroposophie. Il faudra voir, prochainement, si les membres souhaitent un résumé des différentes présentations.

L’avenir repose assurément sur ce que chacun porte comme impulsion dans le monde. C’était opportunément le sous-titre du congrès. « De la connaissance à l’action consciente ».

Bonne Michaëlie

Arie van Ameringen

 

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